Alors que vous approchez de la bibliothèque, un livre attire votre œil alerte. Pourquoi ce livre en particulier ? par sa simplicité, il n’y a aucun signe distinctif, aucun titre, ce qui pousse votre être curieux à le tiré de son étagère poussiéreuse, le sortant d’un sommeil de près d’un siècle. Sur la couverture noire, est inscrit en lettres rouges vives, calligraphier d’une main d’expert :
˝ LIVRE I ˝
Quand enfin vous l’ouvrez, une écriture rondelette vous accueille sur des pages jaunies, un peu déchirée par endroit, ce qui vous incite à ne pas tourner les pages trop vite sous peine de perdre le secret qu’elles contiennent. Voilà ce que vous pouvez lire, sur ces pages :
Chapitre premier : De la rencontre à l’écriture.
Moi, Tyrgomal, humain de nature, et moine de mon état, entreprend d’écrire un livre, qui sera suivie d’une suite, je l’espère. Les raisons qui on poussées un être comme moi à vouloir écrire un livre sont expliquer dans les lignes qui suivent. Je dois commencer par narrer une parcelle de ma vie, cette même vie qui vous accompagnera tout au long de ce livre, pour en raconter une autre.
Alors que je priait mon Dieu dans un lieu Saint, une ombre douloureuse envahie mon esprit, tout occuper qu’il était à méditer. Je restais sans voix, cherchant dans la pièce, tout en me relevant péniblement, l’origine de ce maléfice. Ce mal m’avait donné d’étrange courbatures dans les muscles, qui commençait à s’évanouir quelque peu, maintenant que je reprenais mes esprits. Je salivais énormément, et pour d’obscure raisons, des perles de sueurs envahissaient mon front dégarni.
Je sortais de ce lieu, la tête dans les étoiles, alors que mon corps parcouru de frisson ce rappeler que trop bien de cette douleur qui m’avais envahie le temps de deux secondes. La première chose que je vit dans la pénombre ambiante, car il était très tard, la lune était presque à son zénith, ce fut deux ombres un peu plus loin, accroupi dans le noir. J’approchais mon être de ces deux formes, et de plus près, je put distingué un homme et une femme.
L’homme était assis, presque en tailleur, gémissait, en ce balançant d’avant en arrière. La femme qui était non loin de lui avait une main posait sur son épaule. J’interprétais la situation de cette façon : la femme avait du voir l’homme s’écroulait suite à la douleur que j’ai ressentie dans le temple, il devait l’avoir perçut lui aussi. Elle devait essayer de le calmer. Je m’était donc approcher péniblement vers le drôle de couple.
Par politesse, je m’annonçait, indiquant donc que j’arrivais. Aucune réponse ne parvint de leur part, seulement les gémissement et autres feulement du bonhomme. J’arrivais à leur auteur, et me baisser au niveau de l’homme. Dans la pénombre, je discernais une grande expression de terreur et de douleur sur son visage, et il était en transpiration, les yeux révulsés, tournant sans réel but dans leurs orbite…
Quant à la femme, elle avait les yeux rivés dans ceux du malheureux. Je vais vous retranscrire le cours dialogue qu’il y a eut entre elle et moi :
_Que lui arrive-t-il ? Vous le connaissez ? dis-je avec appréhension, le regard braqué vers la dame.
_Je joue avec lui, tout simplement… me répondit-elle, froide, tout en tournant ses yeux vers ma personne, me procurant mille décharges électriques dans la colonne vertébrale, me laissant en admiration devant la beauté de la créature qui se tenait devant moi…
_J’ai… j’ai du mal à comprendre… arrivais je à balbutier, tout en déglutissant bruyamment.
_Vous vous trompez, c’est lui qui à mal, pas vous… il doit déjà allez mieux maintenant… lança-t-elle, sinistre.
C’est à ce moment qu’elle lâcha l’épaule du malheureux qui tomba sur le côté. Je ne savais si c’était ce contact qu’il lui avait provoquer ses gémissement et autres tremblements, mais il ne produisait plus aucun son, si ce n’est qu’il ne bougeait quasiment plus. J’apprendrais plus tard comment elle faisait cela. Elle commença à partir dans une ruelle voisine, quand, hors de moi, j’allait pour la retenir par le bras.
Elle était magnifique, son visage, si innocent ne pouvait cacher pareil tyrannie et surtout ce sadisme. C’était un démon, j’en avais entendu parler, il est vrai, mais je n’avais jamais croisé le chemin de l’un d’eux, et quand cela adviendrait, je devrais le tuer. L’occasion mettais ainsi offerte dans cette ruelle.
Elle dégagea sa main par un simple mouvement du poignet, une rotation pour ainsi dire et continua d’avancer. Je dégainer donc mon épée et foncer, hurlant sur elle, je hurlais parce que je ne pouvais me résoudre à tuer une aussi belle créature de sang froid. J’abattais l’épée vers sa tête, et quelques secondes avant que l’épée ne touche le cuir chevelu, elle se retourna et de sa main irisées de griffes, coinça ma lame. Je put remarqué que les griffes sortaient de gants, de très vieux gants. L’autre mains en étaient pourvue aussi, et elle vint planter une griffe dans ma gorge, légèrement, histoire que je reste sage, et qu’un filait de sang puisse couler le long de ma trachée.
Alors, elle me susurra, plus belle que jamais, avec une mèche lui barrant le visage, tandis que le reste de ses cheveux était parfaitement en place (j’en apprendrais la cause ici aussi beaucoup plus tard…) :
_Je ne veut tuer personne se soir, alors le moine, ne m’oblige pas à faire de la charpie de ton être pathétique…
Sur ces quelques mots, je ne trouvais rien à répondre, et elle approcha son visage du mien, toujours en tenant ma lame dans son étau de fer, et avec une griffe plantée délicatement dans ma gorge. Je crut un instant qu’elle allait m’embrassé, mais elle fit bien plus pire que cela. Elle alla léchée le sang qui coulait de ma gorge. La sensation de cette langue, de cette créature parfaite, sur mon épiderme, était fortement agréable, mon esprit divaguer vers des rêves érotiques et exotique, tandis qu’elle aspiré un peu de mon liquide rouge. Par la suite, je me sentie drôlement humilié par le traitement qu’elle m’avait infligé.
Puis elle relâcha ma lame qui tomba par terre dans un cliquetis métallique, tandis qu’elle retiré sa griffe de mon anatomie, pour me tourner le dos, et me laissait choir à genou, sur le pavé de la cité, tremblotant, en quête de mes esprits.
C’est pour cet affront qu’elle m’a fait que j’ai décider de me venger, mais ma vengeance ne fut jamais accomplie, non pas que je n’aie pas essayé, je ni suis pas arrivé. Vous allez me demander pourquoi ais-je rédiger ce livre alors, la raison en est simple, et je vais maintenant vous la compter :
Dans les pages qui composeront les chapitres qui suivrons ce chapitre, sera expliquer le récit de la tentative d’accomplissement de ma vengeance. Pour faire cours et vous expliquez les raisons de ce manuscrit, je dirais qu’a force de combattre cet être maléfique, j’ai commencé à le connaître. Et ma vengeance est que moi, je mourrai un jour, elle non… je rédige donc ce livre parce que e dois la connaître mieux que tout le monde, cette créature, et vous verrez qu’au fond, elle n’a pas l’air si mauvaise.
